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Le colloque se tiendra sur trois sites différents :
30 septembre : ENS-LSH, salle F101
1er octobre : INRP, salle de Conférences
2 octobre : IUFM, salle 20
Entrée libre et gratuite
voir le site du colloque
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La question de l’enseignement comme élément central de la « mission civilisatrice » de la France fait toujours l’objet de débats parmi les spécialistes de la colonisation. Ce colloque propose de mettre en relation les connaissances produites sur les différentes parties de l’Empire français (Afrique subsaharienne, Indochine, pays du Maghreb, Levant, Nouvelle-Calédonie) et de réfléchir à une histoire « connectée » attentive aux circulations des discours, des programmes, des enseignants, des pratiques pédagogiques.
Un « système » d’enseignement produit d’un discours homogène de la métropole a-t-il existé ? Qu’en a-t-il été de l’adaptation de l’enseignement aux peuples colonisés et quelles furent les réactions des populations vis-à-vis de l’école coloniale et d ela violence culturelle qu’elle a représenté ? Comment, enfin, enseigner cette histoire dans les classes de collège et de lycée aujourd’hui ? Telles sont quelques-unes des questions que ces rencontres se proposent d’aborder.
30 septembre : ENS-LSH, salle F101
1er octobre : INRP, salle de Conférences
2 octobre : IUFM, salle 20
Entrée libre et gratuite
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La question de l’enseignement comme élément central de la « mission civilisatrice » de la France fait toujours l’objet de débats parmi les spécialistes de la colonisation. Ce colloque propose de mettre en relation les connaissances produites sur les différentes parties de l’Empire français (Afrique subsaharienne, Indochine, pays du Maghreb, Levant, Nouvelle-Calédonie) et de réfléchir à une histoire « connectée » attentive aux circulations des discours, des programmes, des enseignants, des pratiques pédagogiques.
Un « système » d’enseignement produit d’un discours homogène de la métropole a-t-il existé ? Qu’en a-t-il été de l’adaptation de l’enseignement aux peuples colonisés et quelles furent les réactions des populations vis-à-vis de l’école coloniale et d ela violence culturelle qu’elle a représenté ? Comment, enfin, enseigner cette histoire dans les classes de collège et de lycée aujourd’hui ? Telles sont quelques-unes des questions que ces rencontres se proposent d’aborder.